coagulation

le lait coagule

le sang coagulera

cela va de soi

mamelle du développement

instant figé

regard défoncé

fixer l’instant

fusion

de la tétée vive les tétons

maman chérie tu m’as nourrie

maman chérie ton sang avait tourné

avec celui d’un étranger

pourtant si proche

combinaison d’actes manqués

aimer semble si loin

aimer ne rime à rien pas plus que l’horizon bas du front

pare-soleil en infusion silence les ondes diffusent des phrases parsemées d’où fleurit l’ennui

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aucune interrogation lacune confirmation

chimère hybride sous perfusion demande arête dans le poisson

squelette fragile à la chair sensible dans l’arène des émotions

vazi me touches pas dégage ton alanglissement de ma bouche

cruelle épreuve pour une enfant dont le seul désir est de rester au chaud, dedans, malgré l’ivresse des géants – tout dehors () représailles – à chaque sortie dedans se plie et se replie supplice dedans et la coquille éclate

patatras!

bonjour, néant

symphonie épinard

une épine se hasarde sous la plante de son pied à terre le sol semble aride tant cet air trotte dépité de suivre la cadence piétinée matin chantant matin chantant matin chantant m’entends-tu cas isolé gargarisé par la douleur plantureuse des regards parsemés sous la charpente assombrie de particules déjà caniculaires cherchent un abri amputés dans la clameur de l’ennui aux plumes de goudron fragile déambulation du sang dans le mouchoir brodé itinéraire rémunéré parti prisé représailles éclaboussures excréments verdâtre partir furibonde la coupe pleine d’un entrain à serrer une poubelle vigipirate courrier déborde papier crayon sillonne les lignes prioritaires hurler pour pas parler sauter pour pas payer tomber pour plus sourire écraser le mégot de l’amertume d’une plage en travaux

laisse Poire s’écrire poireauté pipeautée

je laisse la bière à côté de l’eau au cas où, au dernier moment, tu hésiterais

tel.le.s l’humanité dans l’isoloir

normes

iel n’a pas existé

ça déchire

iel n’a pas résisté ç

a déchire aussi pas trop tôt dare-dare

de la nullité, entendre par là le néant, née l’obscure le sombre les ombres phantasmes impitoyables

hâbler à blémir est-ce ta situation est-ce là ta situation est-ce là essaie là essaie ici ou là estimation maison construire truie détruire des truies détruisent détritus abribus des truies casse les oreilles simulation ennui extase

se crasser = risquer de transpirer dans un effort ==réfléchir à deux fois avant un effort === ondike ondissa

néfaste = sentir vite, ressentir rapido, sentiment d’immédiateté tenace

pauvre poète penser brouette des routes des roues des roues des roues des roues des ours qui roulent sur des roulettes des roulettes des roulettes galipettes

gare à celle qui harcèle en selle prends gare atmosphère lugubre & pénétrante rante rante rentable délice défit accélère scélérate c’est les rates! ce sont les rates que ça dit que ça a dire keuff keuff keuff

à dada à da da da sur l’excellence lancée peut plus s’arrêter trajectoire trajectoire de poire espoir est-ce poire poireauter pipeau

point

modifier par oubli

nonobstant or not

fuir sa vie?

N’avons-nous que ces deux options : poufiasse ou femme du monde?

Un post pour réagir à la discussion lancée par Fugu No Romance à propos de l’article de Manon TORRES : http://www.barbieturix.com/2015/12/14/ou-sont-les-femmes-genre-et-musiques-electroniques/?fbclid=IwAR1Gir_kMoXNjEc4cc6EKxUo2nU8gNvI_-bbOx-8AncudYULyaM1cHklM-8