PARADIES trilogie de Ulrich Seidl, 2012
Catégorie : en attendant
confinement obsessionnel #5
Écrire : j’insère les mots dans les espaces vides : vide et espace
Faiblesse : qu’il y ait nécessairement cette odeur entre moi et le monde ; que j’en ai besoin ; un besoin « fou »
Au lieu d’« illusion » dis aussi « parfum »
Amour : faire quelque chose d’aimable ; l’amour sans les actes n’existe pas
L’écriture et la lecture me (et vous) secouent, me donnent das bras et des jambes
Je vis tout ce que les autres ne savent pas de moi
Tranquillité signifie aussi : être à ce qu’on fait ; et ne plus être intranquille dans la solitude, enfin
La sagesse qui suit chaque angoisse de mort n’est d’aucune utilité pour l’angoisse de mort suivante
Vie de poète : sauvegarder l’urgence
La puissance du désespoir : chercher des yeux
La mélancolie n’est peut-être qu’une ardeur renversée
Il faut toujours que je joue la comédie pour apparaître tel que je suis
Pour peu qu’une personne t’ait pris pour cible, si infondés que soient ses griefs, tu ne tarderas pas à lui donner toutes les raisons de t’attaquer. Loi de la nature ?
La vie des ombres aujourd’hui : devant la télévision
Tout aussi difficile à dire que « Je t’aime » : « Je ne t’aime pas » ; c’est aussi un évènement
Un artiste, jamais au grand jamais, n’est « distrayant »
Pour un autre ami l’absence c’est : « Être allongé tout habillé sur un lit au matin ou au soir avec le sentiment d’attendre quelqu’un alors qu’on attend personne »
Comme voir est difficile. Et il n’y a pas d’école du regard ; on ne peut que l’apprendre soi-même, chaque jour à nouveau. Mais alors dans la contemplation, même le noir des feuilles mortes maintenant a une lueur
Le vulgaire, si toutefois il s’ingénie à être moins évidemment vulgaire, devient incompréhensible
Chaque « Connais-toi toi-même » s’achève nécessairement dans l’effroi? Chez moi en tout cas?
L’INTERVALLE d’existence: celui qui court à ma fenêtre, ici, à la cime des arbres, là-bas, le vivre, dans le tressautement et les mouvements vifs des rameaux sous les bonds et les fulgurances de petits et des grands oiseaux du matin
confinement obsessionnel #4
71 Fragmente einer Chronologie des Zufalls, Michael Haneke, 1995
confinement obsessionnel #3
STROMBOLI (faire la drague au curé, et-sinon-c’est-qui-le-père, …) un film osé-osé de Roberto Rossellini
année de sortie : 1950
confinement obsessionnel #2
Element of crime, Lars Von Trier, 1985
Bonus >>>> la logique d’un réalisateur obsessionnel [the best]
confinement obsessionnel #1
Iwashigumo (nuages d’été) de Mikio Naruse – 1958
MIXICULAIRE / Cheese Masta
!!! FIERTÉ !!!
CETTE ANNÉE C’EST CHEESE MASTA QUI A SELECTIONNÉ DES MORCEAUX AU POIL :: FOLIE VERBATIM :: SA SÉLECTION NOUS PERMETTAIT D’Y GLISSER QUELQUES ORDURELUDES :: BONNE ÉCOUTE PLASTIK <3 <3 <3
IL NOUS RESTE DES POCHETTES TOP MOUMOUTE / COEUR EN PLASTIK ET AUTRES DÉLIRIADES FORMAT CéDé
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Mix’ICULAIRE :: TOUT POUR PLAIRE
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