« Je suis une chose, prise mâle et prise femelle, il est le courant. Nous sommes dans une ampoule, protégés du monde extérieur, notre combustion se fait sans oxygène. Je suis une pute et je laisse à désirer. Est-ce que je suis fou, vraiment fou? Est-ce que je me flagelle de façon pathologique? est-ce que mon orgueil est tel qu’il me fait désirer tout et son contraire? Sûrement. […] Je n’en suis qu’au début, j’entre cela dans mon crâne. Il faut oser, détruire, il est encore temps, je veux détruire tant que j’en ai la force. La patience et la disparition viendront plus tard. J’ai encore quelques sommets à gravir, c’est-à-dire beaucoup de pentes à descendre. Je cherche une forme de purification, par le feu, au centre du combat, dans l’agonie. Je veux continuer d’apprendre. »
La vie privée, Olivier Steiner – p.120 – collection L’Arpenteur
N’avons-nous que ces deux options : poufiasse ou femme du monde?
Un post pour réagir à la discussion lancée par Fugu No Romance à propos de l’article de Manon TORRES : http://www.barbieturix.com/2015/12/14/ou-sont-les-femmes-genre-et-musiques-electroniques/?fbclid=IwAR1Gir_kMoXNjEc4cc6EKxUo2nU8gNvI_-bbOx-8AncudYULyaM1cHklM-8