tout ce qui compte, c’est d’écrire

elle avait pris un billet pour « lettres aux jeunes poétesses »

elle n’est pas particulièrement jeune

enfin si, un peu, puisqu’elle débute

elle débute depuis ses huit ans

enfin, voilà, elle est là, assise

et les voix imprègnent l’atmosphère

ce qui reste étrange c’est

la voix de l’absente, physiquement je veux dire,

qui aura fait rouler de belles et salvatrices larmes sur ses joues

à vous de voir :::::

The beauty of human decomposition in Japanese watercolor

The beauty of human decomposition in Japanese watercolor