telle mère telle écume
les bras de mère articule la rage
s’arracher à la brume
traverser tes larmes à la nage
nul.le ne pourra amputer les souvenirs d’amertume
nul.le ne saura occulter les dérapages
au clair de lune les toits fument
et enveloppent selon l’adage
qu’importe qu’iels s’enrhument
le nez collé aux lumières du passage
ton retour aux odeurs d’agrumes
indigeste carnage
tu cries notre inconsistance
sans jamais rejoindre la danse
tu soupires notre existence
orange sanguine dépourvue d’espérance
méduse médisante à l’amour aveugle
plus tu aimes, plus tu beugles
à jamais, pour toujours : virages !!!